Parcours historique : l'Église de Voisins

Une Paroisse qui date du XIVème siècle

Il est très probable qu’un édifice ait préexisté à l’actuelle église de Voisins. En effet, bien que l’on estime que celle-ci ait été achevée au XVIème siècle, la paroisse est citée au diocèse de Paris dès le XIVème siècle.
Sur un schéma identique à tous les vieux villages, l’église est ceinturée par un cimetière. Au fil des années, le bâtiment subit de nombreuses interventions et transformations :
- En 1687, une série de réparations majeures et urgentes.
- En 1706, destruction d’un bâtiment qui se trouve devant la porte et ajout d’une fenêtre au-dessus de cette dernière, pour pallier un manque de luminosité à l’intérieur de l’église.
- En 1710, construction d’une sacristie et de deux chapelles latérales (celle-ci recycle les bois et débris de l’abbaye de Port-Royal, rasée sur ordre de Louis XIV).

De très nombreux travaux d’aménagement ont été réalisés au cours du temps (achat de mobilier, changement des fenêtres,…).

L’Église à l’épreuve de la révolution

À partir de 1759 et jusqu’à la Révolution, l’église porte le nom d’église « Royale et Paroissiale Notre-Dame de Voisins-le-Bretonneux ».
Comme dans de nombreux autres villes et villages, la cloche de l’église est fondue en place publique. Le bronze des cloches est alors utilisé pour en faire des canons. En 1790, le curé Jean-Pierre Dieulouard, en poste à Voisins, doit prêter serment à la « constitution civile du clergé » . Ce serment est exigé pour lui permettre de continuer à exercer, et se fait en ces termes : « Je jure de veiller avec soin sur les fidèles dont la conduite m’a été ou me sera confiée ; d’être fidèle à la nation, à la loi et au roi, et de maintenir de tout mon pouvoir, dans l’ordre civil, la constitution décrétée par l’Assemblée Nationale et acceptée par le roi ». Ainsi assermenté, il peut conserver sa cure.

La dictature des Montagnards s’installe et les années 1793 et 1794 sont deux années particulièrement difficiles pour l’église et son clergé. Les acteurs de la Terreur ne font pas de différence entre les prêtres réfractaires et ceux ayant prêté serment. Le curé du village, refusant de suivre les excès de la révolution, n’a d’autre choix que de fuir. Il se cache dans une ferme de Voisins, déguisé en garçon de cour, jusqu’en 1795. Au terme de ces années difficiles, à la demande des Vicinois, il reprend ses fonctions et gère la paroisse jusqu’en 1802, non sans avoir fait une déclaration de soumission aux lois de la République. Comme beaucoup d’autres à travers la France, l’église de Voisins est désaffectée et reconvertie en « temple de la raison », structure ayant pour mission d’abriter des cultes athées. Les meubles et les ustensiles utiles aux cérémonies chrétiennes sont vendus.

Un Clocher rénové

Ce n’est qu’en 1810, soit presque 20 ans plus tard, que la cloche de l’église est remplacée grâce aux fondeurs Collin et Lumaux : une magnifique création de 500 kg, baptisée Anne Marie Thérèse. Cette nouvelle cloche est parrainée par le baron François-Xavier Frossard, un éminent membre de l’empire : ancien colonel, décoré de la légion d’honneur et père du futur propriétaire du château de la Frossardière. La marraine de la cloche est Marie-Thérèse Doche, une propriétaire vicinoise. Dans le bronze de cette cloche est également gravé le nom du Maire de l’époque : François Douville (1791 - 1813). Par la suite, en 1861, c’est l’intégralité du clocher qui est rénové. Sa forme change : auparavant couvert en bâtière, on y place une flèche. 

L’Église à l’épreuve de la guerre

Plus d’un siècle plus tard, l’église est à nouveau victime de l’Histoire : pendant la Libération, Voisins est le siège de combats meurtriers. Le clocher, qui sert d’observatoire, est visé par les Allemands et fortement endommagé par les tirs d’artillerie. Menaçant de s’effondrer, il est abattu à l’automne 1944. Sa cloche est fêlée à la suite de sa chute.

Il faut attendre quarante ans pour que le clocher soit relevé. Dix ans plus tard, en 1994, la cloche abîmée est remplacée par un carillon composé de trois nouvelles cloches. Chacune produit une note différente, à savoir un Fa#, un Sol# et un La#. Ces trois cloches baptisées Marie, Pierre et François sont bénies le 20 mars 1994 par Monseigneur Thomas, évêque de Versailles.

Cette même année, le monument aux morts trouve sa position actuelle, face à la Mairie, place Charles-de-Gaulle.
Aujourd’hui, vous pouvez apercevoir l’ancienne croix sur le rond-point du Champ du Loup.

Visite de l’église

À l’intérieur de l’église, on trouve notamment la sépulture de Pierre Gilbert, dans la chapelle seigneuriale. En effet, la famille Gilbert a possédé les terres de Voisins de la fin du XVème siècle à la fin du XVIIème.

L’église comprend trois travées, voûtées en pierre, avec des arcades ogivales. 
Les clés de voûte sont sculptées. 

La première, près de la porte d’entrée, représente les armoiries de la famille GILBERT de VOISINS : d’azur à la croix engrêlée (c’est-à-dire bordée de petites dents à la manière d’une dentelle ornée d’une engrêlure) et quatre croissants montants (d’or). 

La deuxième clé est garnie de marguerites, allusion à la femme de Gilbert III qui a représenté ses armes dans le premier écusson. 

La troisième est composée de fleurs de lys. On peut supposer qu’il s’agit d’un hommage de fidélité au pouvoir royal. Ces ornements portent la date de 1687 qui marque d’importantes réparations de l’église. 

Avant l’autel actuel se trouvait un retable datant de 1703 de style corinthien, éclairé par trois fenêtres, dont les côtés étaient en ogives. 

Les trois baies ont désormais le même style ogival, à la suite des travaux entrepris après les bombardements de la Seconde Guerre mondiale.

Elles constituent une verrière dans laquelle la Vierge portant l’Enfant-Jésus tient le motif central. À sa droite, un des prophètes majeurs de l’Ancien Testament, considéré comme un des plus grands poètes de la Bible : Isaïe. À sa gauche, Saint Louis-Marie Grignion de Montfort, auteur d’ouvrages de piété en l’honneur de Marie. 

 

Une Église placée sous la protection de la Vierge Marie

Dans l’ordo diocésain, document qui rassemble notamment les coordonnées des paroisses, la désignation d’un Saint Patron pour l’église de Voisins n’apparaît qu’en 1873. Celle-ci la nomme « Nativité de la Sainte Vierge » tandis que le pouillé de Versailles de 1876 indique « Sainte Vierge - Nativitas B.M.V » (Beatissimae Virginis Mariae).

En 1883, Eugène Videcoq, membre de la société archéologique de Rambouillet, place l’église sous le vocable « Sainte Vierge dans sa Nativité ». 

En fin de compte, l’église adopte le nom « Notre-Dame en sa Nativité ».

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Parcours historique : l'aérodrome Caudron

Des ballons dirigeables aux avions motorisés, la région de Versailles a toujours été une référence en matière d’aéronautique. Les grandes étendues planes, le peu d’urbanisation et la proximité avec Paris sont des atouts qui expliquent la primeur de la zone dans le cadre de la conquête du ciel.

Alphonse et René Caudron, pionniers français de l’aviation 

Alphonse (surnommé Gaston) et René Caudron sont deux frères, pionniers français de l’aviation. Passionnés d’aéronautique depuis le premier envol d’un appareil aux États-Unis en 1903, ils se lancent dans l’aventure de la construction d’appareils. Leur premier avion, achevé en 1908, se vend à plus de 10 000 exemplaires dans le monde.

À partir de 1910, ils se présentent aux principaux meetings aériens organisés sur le sol français, ce qui leur permet de se faire connaître. Forts de cette popularité, ils ouvrent leur propre usine, près du Crotoy, dans la Somme. Celle-ci fonctionne à plein régime mais le début de la Première Guerre mondiale et les avancées allemandes en août 1914 les contraignent à déménager leur atelier vers Issy-les-Moulineaux. Pour contribuer à l’économie de guerre et être en mesure de fournir l’armée française, Gaston Caudron ouvre une seconde usine à Lyon, tandis que son frère reste en Île-de-France.

L’Inauguration de l’aérodrome

En 1930, René Caudron aménage un nouveau centre d’essai sur la plaine de Villaroy, les terrains d'Issy-les-Moulineaux étant saturés. Il achète un peu plus de quinze hectares de terrain à Voisins-le-Bretonneux et environ huit hectares à Guyancourt. Afin que cet aérodrome ne soit pas confondu avec celui de Voisin dans la Somme, René Caudron installe le siège social sur la commune de Guyancourt dont il prend le nom. L’inauguration a lieu en 1932. En 1933, René Caudron s’associe avec Renault : on parle alors de l’aérodrome « Caudron-Renault ».

Divers aménagements favorisent le développement du terrain. Sa notoriété grandit notamment grâce à la publicité faite par le Touring Club de France en 1935.
Deux ans plus tard, une école d’aviation est créée. Elle délivre notamment son brevet de pilote tourisme à Joséphine Baker, la vedette et militante entrée au Panthéon en 2021 !

Par ailleurs, l’aérodrome est utilisé depuis 1934 comme lieu de tournage pour plusieurs films.

À partir de 1938, l’aérodrome s’agrandit. Divers achats et échanges de terrains lui donnent une superficie totale de 91 hectares.

Une structure qui accueille les plus grands

Finalement, pendant toute l’entre-deux-guerres, l’aérodrome est principalement un centre d’essai qui voit voler de nombreux pilotes parmi les meilleurs de l’époque :
- Raymond Delmotte, entré en pilote d’essai en 1926. Il détient 10 records du monde de vitesse, plusieurs trophées et cumule plus de 8 000 heures de vol,
- Hélène Boucher, aviatrice française extrêmement populaire, habituée aux records de vitesse, championne du monde en 1934,
- Maryse Hilsz, pionnière de l’aviation française, détentrice en 1934 du record mondial féminin de vol en altitude.

D’autres pilotes, dont les noms ne sont pas inconnus, ont décollé à l’aérodrome Caudron-Renault, comme Maryse Bastié et Antoine de Saint-Exupéry.

Les enfants viennent nombreux dans l’espoir d’effectuer un tour d’avion. Les pilotes les appellent souvent « les morpions des carlingues ».

La fin d’une belle époque

En 1940, l’association avec Renault prend fin, conséquence directe de l’invasion allemande et de la réquisition de l’aérodrome. Dans les alentours, à Villacoublay, Toussus-le-Noble, Saint-Cyr-l’Ecole et les Mureaux, toutes les infrastructures similaires subissent le même sort. La Luftwaffe en fait alors des bases pour ses avions de chasse.

L’aérodrome est bombardé une première fois par les Alliés en juin 1943, puis une seconde fois un an après. L’armée allemande l’abandonne finalement le 24 août 1944 à la 2ème division blindée du Général Leclerc.

Après la guerre, l’aérodrome devient propriété de l’Etat, via la régie Renault (la Société Anonyme Renault a été dissoute pour faits de collaboration pendant l’occupation allemande, elle a donc été nationalisée).

À partir de 1945 et jusqu’en 1983, l’aérodrome s’oriente vers l’aviation de tourisme : les aéroclubs (plus de dix) et les écoles de pilotage (trois, dont une d’hélicoptère) accueillent de nombreuses personnes. Il est alors considéré comme un lieu de promenade dominicale et de loisirs, proposant un accueil chaleureux au « Bar des ailes » et des activités comme le mini-golf. Dès lors, toutes les surfaces enherbées de l’aérodrome sont entretenues par les troupeaux de moutons de la région.

Pourtant, dès 1965, l’existence de l’aérodrome de Guyancourt est remise en question : l’aérodrome ne figure pas sur les plans du premier Schéma Directeur d’Aménagement et d’Urbanisme.
Une association de défense s’organise rapidement mais elle ne suffit pas à empêcher le transfert final de la structure vers Étampes.
Le verdict met cependant vingt ans à tomber et quatre années supplémentaires pour être exécuté.
C'est ainsi que, le 3 juin 1985, le ministre chargé des Transports – mais aussi de l'Aménagement du Territoire – décide officiellement du principe de la fermeture de l'aérodrome et du transfert de ses activités d'aéro-club sur celui d'Étampes - Mondésir. Après déclassement de sa partie en novembre 1988, deux arrêtés ministériels (7 août et 2 octobre 1989) ferment Guyancourt à la circulation aérienne publique et le déclassent du domaine public aéronautique.

La destruction de l’aérodrome est décidée pendant l’édification de la Ville Nouvelle pour des raisons de sécurité.

L’évacuation totale de l’aérodrome est faite le 30 septembre 1989. Les derniers avions décollent, passant ce soir-là au-dessus des villages pour un dernier adieu. Le 1er octobre au matin, les pistes sont labourées et les entrées de l’aérodrome obstruées par des tonnes de terre. Une page d’histoire se tourne. Un parc d’affaires paysager occupe désormais le site.

 

 

 

 

Parcours historique : la Mairie-École

L’instruction publique est dispensée aux enfants depuis 1614 par le vicaire de la paroisse.

C’est en 1790 qu’apparaît pour la première fois la mention d’un maître d’école, Jean-Baptiste Michon.
En 1795, David Guyon, nommé instituteur des trois communes de Montigny, Guyancourt et Voisins, le remplace.
La même année, une seconde classe est ouverte pour les filles. L’institutrice de Magny-les-Hameaux est nommée à son tour institutrice des trois communes.

Entre 1817 et 1819, la Municipalité loue une maison qui sert à la fois d’école pour les filles et de logement pour l’institutrice et le curé.

À partir de la loi Guizot de 1833, la construction d’un nouveau bâtiment pour les écoliers devient primordiale au regard de l’insalubrité de l’établissement existant. Celle-ci est votée en 1844.

Le bâtiment blanc désormais occupé par la Police Municipale est ainsi la première école de la commune. On l’appelle « école-mairie » car la structure abrite à la fois les élèves et les employés de la mairie. Si la décision de construire une « école-mairie » date de 1844, ses premiers écoliers arrivent en 1847. On y retrouve une section pour garçons et une autre pour filles. L’année de son ouverture, l’école compte 38 élèves.

Le 7 juin 1885, le Conseil municipal décide l’achat d’un terrain sur lequel sera construite une nouvelle école, mitoyenne de l’école-mairie de l’époque. Aujourd’hui, ce bâtiment abrite des services municipaux.

En 1887, une nouvelle école est construite juste à côté de l’ancienne qui devient alors la mairie.

Il faut attendre plus de 70 ans pour qu'une nouvelle école ouvre ses portes à Voisins-le-Bretonneux. Elle fonctionne entre 1953 et 1975.

De 1968 à 1990, et notamment en raison de la constitution officielle de l’agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines en 1972, la population de la ville de Voisins-le-Bretonneux passe de 680 à 11 220 habitants !

Les infrastructures ne sont plus adaptées aux besoins des habitants. Cette explosion démographique conduit inévitablement à la fermeture de l’école et à l’ouverture en parallèle de plusieurs établissements scolaires.

Liste des arrêtés

 Conformément à l'ordonnance n° 2021-1310 et le décret n° 2021-1311 du 7 octobre 2021, les règles de publicité des actes administratifs ont été modifiées à compter du 1er juillet 2022. Les actes pris par les collectivités territoriales sont dorénavant dématérialisés.

Retrouvez la liste des arrêtés 2022 sur www.voisins78.fr/arretes-2022

Retrouvez la liste des arrêtés 2023 sur www.voisins78.fr/arretes-2023

Retrouvez la liste des arrêtés 2024 sur www.voisins78.fr/arretes-2024



 

Eric Dannemmüler : partitions

" "Il neige sur Decauville", n°2 des sept mélodies vicinoises, m'a été inspirée, un soir d'hiver, par des flocons de neige virevoltant dans l'éclairage rasant de la cour de l'espace Decauville où je donnais un récital. C'est une pièce, plutôt pour pianistes confirmés, avec une main gauche légère et très régulière, alors que la main droite déroule une mélodie très dansante et parfois romantique dans les arpèges descendants. Toutes les indications de phrasé, de pédale et de nuances sont sur la partition, mais je suis à disposition pour toute question !



Vous trouverez également la partition "Sven Blues", plus accessible pour les jeunes pianistes, extrait de mon cahier de "Jazz d'enfants".



Suivez bien les conseils, tout y est écrit :)
Amusez-vous bien !
Et n'hésitez pas à venir me rencontrer à la fête de la musique ou au forum.
A très bientôt
Eric Dannemmüler" 

100% culture

Bienvenue dans votre espace 100% culture... 

Vicinavette

Logo Vicinavette DEC2023

 

« Pour lutter contre l’isolement des personnes âgées, nous avons mis en place un service de transport à la demande pour les personnes âgées de plus de 62 ans valides. Cette nouvelle Vicinavette apporte une solution aux difficultés que peuvent éprouver les seniors pour effectuer leurs déplacements du quotidien dans Voisins : visite amicale, chez le coiffeur, le médecin, courses...». - Alexandra Rosetti, Maire de Voisins.

Circulant uniquement sur le territoire de Voisins, la Vicinavette, vient chercher la personne devant chez elle à une heure définie et la conduit devant le lieu de rendez-vous.
Attention, il ne s’agit pas d’un transport médicalisé.


Pour qui ?

Tous les Vicinois de plus de 62 ans ne bénéficiant pas d’autres aides à la mobilité telles que le PAM (service Pour Aider à la Mobilité financé par la Région, Île-de-France Mobilités et le Département des Yvelines) ou les transports remboursés par la Sécurité sociale (VSL...).

 

Quand ?

Les mardis de 9h à 12h
Les jeudis de 13h30 à 17h


Comment bénéficier de ce service ?

Être inscrit auprès de l’Espace Marianne

Réserver son trajet au minimum 48h à l’avance


Comment identifier la Vicinavette ? 

Le véhicule est marqué par le logo de la Ville.

 

Comment s’inscrire ?

Espace Marianne
5 rue Hélène-Boucher 

01 30 48 58 89

Lundi, mardi, jeudi et vendredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h15
Mercredi de 13h30 à 20h.

Publication : naissance et décès

Vous souhaitez faire apparaître une naissance ou un décès dans le journal municipal ?
Merci de bien vouloir compléter le formulaire présent ici. Vous pouvez ensuite au choix :
- le déposer à la mairie,
- le renvoyer à l'adresse courriel : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser..

 

Site momentanément indisponible

En raison de l'incendie qui s'est déclaré dans la nuit du 9 mars sur le site d'OVHCloud à Strasbourg, le portail de gestion des cimetières est actuellement indisponible.

Priorité Piétons & Signalisation

Priorité aux piétons

Sur tous les itinéraires "mixtes" (voies partagées suffisamment larges pour permettre la circulation aisée des piétons et des vélos), la priorité doit être donnée aux piétons, et la vitesse des vélos doit être raisonnable et prudente.
Ceci est encore plus le cas sur les chemins "principalement piétons", relativement étroits, où le cycliste devra a priori s'arrêter pour laisser le passage aux piétons.

 

Rappel sécurité

  • Casques obligatoires pour les moins de 12 ans
  • Circulation sur les trottoirs réservée aux cyclistes de moins de 8 ans.
  • Un vélo entretenu (freins bien réglés, pneus gonflés,…), c’est 5 km/h gagnés pour la même énergie dépensée.
  • Assurez-vous d’être vu et entendu (éclairage, gilet jaune…). Le feu avant jaune, le feu arrière rouge et les catadioptres sont obligatoires.



Rappel de panneaux destinés aux cyclistes

         

Piste / Bande cyclable obligatoire  Piste / Bande cyclable recommandée
panneau_velo_obligatoire.png panneau_velo_recommandee.png

 

Zone de rencontre 20 km Sens unique, circulation des vélos autorisée en sens inverse
panneau_velo_zone_20.pngv panneau_velo_circulation_autorisee_en_sens_inverse.png

 

Accès interdit aux usagers motorisés (autorisé vélos) Interdit aux 2 roues
panneau_velo_acces_interdit_aux_usagers_motorises.png panneau_velo_acces_interdit_aux_deux_roues.png

 

Voie verte destinée aux piétons et cyclistes   Voie obligatoire pour piétons et cyclistes
 panneau_velo_partagee.png  panneau_velo_pietons.png

                                           

 

 

  

Itinéraires cyclables

Temps de parcours

Le vélo est un mode de déplacement qui, en plus de faire économiser de l’argent, fait souvent gagner du temps.

Trajet en mn Technocentre
Renault
Bouygues
Challenger
Gare
SQY-Montigny
Centre Ville
Centre Ville 10 16 18 /
Bretonnière 7 18 21 6
Grande-Île 9 13 16 5
Lac / Remise 13 16 14 7
Plan de l'Eglise 16 17 17 7
Chamfleury 15 21 24 3
Port-Royal 10 18 21 3
 

Plan des itinéraires cyclables à Voisins


itineraires cyclables small   itineraires cyclables qrcode

Cliquer sur le plan ou flasher le QR code pour consulter, télécharger, ou imprimer le plan

 

SQY dispose de + de 400km de voies cyclables !

Retrouvez le plan des itinéraires cyclables à SQY en cliquant ici

 

 





10-14 rue Hélène Boucher

“ Voisins en mouvement. En attendant de pouvoir se retrouver, et en raison de l’impossibilité d’organiser des réunions publiques, je vous invite à découvrir à travers cette exposition virtuelle évolutive le projet privé de construction au 10-14 rue Hélène Boucher. Un projet issu d’une âpre concertation avec le promoteur Interconstruction qui s’est montré à notre écoute pour préserver des espaces verts généreux, inscrire ses petits immeubles dans l’environnement du quartier, faire mieux et plus joli... Bonne découverte, en toute transparence, et je reste à votre écoute.”
Alexandra Rosetti, Maire 




Passez votre curseur au niveau du 10-14 rue Hélène Boucher sur le plan pour découvrir le projet avant/après

Parkings

33 parkings vélos répartis sur Voisins (voir plan)

Les précautions à prendre :
- opter pour un antivol solide en forme de U ou les gros câbles gainés car les câbles fins se sectionnent plus facilement
- toujours attacher son vélo, même pour le temps de faire une petite course
- attacher le cadre et la roue avant à un point fixe, (éviter les demi-cercles dans lesquels on ne peut loger que la roue avant)
- faire marquer son vélo
- marquage vélo (5 à 10€)

Faites marquer votre vélo (gravage)

La traçabilité de votre bien augmente vos chances de le retrouver s’il venait à être volé.
Venir avec votre vélo, votre carte d'identié et la facture d'achat.
https://www.bicycode.org/le-bicycode.rub-2/ou-faire-marquer-son-velo.rub-11/

À noter : la Police municipale organise chaque année des opérations gratuites de gravage de vélo

 

Parking en gare de SQY

Parking sécurisé vélo à la gare de SQY : http://www.velostation.sqy.fr/

Services vélo

Retrouvez les offres de services de la région et de l'agglomération : 

Location de vélos électriques (Ile-de-France Mobilités)
40€ par mois, dont 50% pris en charge par l'employeur
veligo-location.fr

Velostation à la gare de SQY
  - Parking vélo sécurisé (fermé).
  - Atelier de réparation
  - Offre de location de vélos (standards, pliants et électriques) à la journée, au mois ou à l’année

Détail de toutes les informations, tarifs... :
velostation.sqy.fr
ou
saint-quentin-en-yvelines.fr/fr/services-et-vie-pratique/se-deplacer/velo/velostation-sqy

 

Aides financières

De nombreuses aides sont disponibles pour l'achat, la location ou la réparation d'un vélo :

Aide de 500 € à l'achat d'un vélo électrique (Région IdF) : 
iledefrance-mobilites.fr/actualites/vae-aide-achat-500-euros

Location de vélos électriques (Ile-de-France Mobilités) :
40€ par mois, dont 50% pris en charge par l'employeur 
veligo-location.fr

Parking sécurisé vélo à la gare de SQY : 
velostation.sqy.fr
ou
saint-quentin-en-yvelines.fr/fr/services-et-vie-pratique/se-deplacer/velo/velostation-sqy

Nous contacter

 Mairie

1 place Charles de Gaulle 78960 Voisins-le-Bretonneux.

01.30.48.58.68

votre.courriel@voisins78.fr

Lu-Ma-Je-Ve: 8.30 - 12.00 et 13:30 -  17.15
Mercredi : 13.30 - 20.00

NB : Le service social "Espace Marianne" est fermé les lundi après-midi et vendredi matin.


Police

La police municipale est joignable au 01.30.48.58.90 aux horaires de la mairie. En dehors de ces horaires ou en cas d'absence, vous pouvez appeler au 06.13.88.20.50.

Le commissariat de Guyancourt est joignable au 01.30.48.26.70
En cas d'urgence composez le 17